Teofilia Juravle (1976 – Roumanie) peinture sous verre

Teofilia Juravle-Girouettes volantes-Suisse-huile sous verre-40x40cm
Possède une formation d’ingénieur et d’économiste. Etudie la peinture sous verre dès 2003. Elle est récompensée dès 2004 pour son travail et créé sa propre ligne appelée « T.I. ! ». Ce nom se réfère à ses initiales mais également au roumain « te iubesc » (je t’aime). En effet, l’artiste s’inspire de tout ce qu’elle aime : sa famille, la nature, les petites choses du quotidien.
Elle se spécialise dans la peinture sous verre, qui consiste à peindre sur le dos du verre, en commençant par les détails et en terminant par le fond. Ainsi, la première couche de peinture posée est la première visible. Il faut également tenir compte de l’effet miroir. L’artiste utilise l’encre pour les détails et la peinture à l’huile pour les couleurs. Ses créations appartiennent à un monde imaginaire et poétique.
Vit et travaille à Bucarest, Roumanie
Xiaoyang Galas (1973 – Chine) 
A étudié la peinture puis l’histoire de l’art chinois et la critique d’art.
Sa technique est souvent mixte et mêle l’acrylique, la peinture à l’huile, les collages de tissus et de végétaux. Elle recherche un effet de simplicité et réunit l’Orient et l’Occident, notamment en ajoutant un mélange des écritures chinoise et européenne. Ses œuvres sont très colorées, très gaies, elles mêlent les couleurs douces et acides.
L’artiste cherche à transmettre un message d’amour. Elle souhaite que son art soit une contribution à la beauté du monde et un message de paix.
vit et travaille depuis plus de dix ans en France.
Marcela Alatorre (Mexique) – bijoux -verre ancien

Antique czech crystal
Antique Murano Glass
Antique Austrian Glass
Elle se passionne pour le verre grâce à ses grands-parents qui l’importaient d’Europe (Venise-Bohème). Les bijoux la fascinent parce qu’ils sont un moyen d’expression : ils permettent à celles et ceux qui les portent de valoriser le fait d’être unique. Ses créations mélangent verre ancien – héritage de sa famille- et pierres semi-précieuses. Elle a développé les connaissances dans ce dernier domaine, alors qu’elle travaillait à Londres comme attaché commercial pour son pays.
Mathilda Raboud (1969 Fribourg, Suisse) – sculpture céramique 
Dans la tranquillité de son atelier, elle crée des personnages en terre de petite dimension jusqu’à taille humaine. Leur expressivité surprend et se lit sur le visage ainsi que sur le corps, en exprimant des émotions aussi variées que l’âme peut en connaître : les doigts de pieds et ceux des mains, les proportions et les rondeurs parlent. De plus, ils sont dotés d’attributs divins avec des ailes et une auréole. Ainsi, ils questionnent l’observateur qui ne sait plus trop quoi en penser.
Mathilda Raboud vit et travaille à Villaz-St-Pierre. Artiste professionnelle depuis plus de 20 ans
Gennaro Scarpetta (1979 – Italie) « Building Blocks ou l’art d’empiler »

Gennaro Scarpetta – building bloks – huile sur toile, 2015
Gennaro Scarpetta propose une nouvelle série de toiles, peintes à l’huile, Building Blocks.
Dans sa précédente exposition à la galerie, l’artiste proposait des séries qui faisaient appel aux souvenirs par les références aux objets anciens et au monde de la marionnette. Avec cette nouvelle proposition, le visiteur, qu’il soit d’ici ou d’ailleurs, est immédiatement connecté aux souvenirs de son enfance. Tout un chacun a eu l’occasion – heureusement – de pouvoir assembler des cubes ou à tout le moins des objets de grandeurs et de couleurs différentes.
Si, dans cette nouvelle série, « empiler » est l’essence même du thème choisi par l’artiste, cette méthode est présente dans nombreuses de ses oeuvres. Que ce soit des maisons ou des animaux, Gennaro Scarpetta place les choses les unes au-dessus des autres, parfois de manière dense et concentrée, pour créer un monde de fantaisie, un univers féerique. Les couleurs franches et étudiées apportent la cohésion à ses assemblages imaginaires.
du 15 octobre au 7 novembre 2015
Les Signes: Rodica Costianu, Teofilia Juravle, Crenguta Macarie, Alexandra Pogacean, Mirela Traistaru 
Ghari Hormozi (Iran) – une identité, forte, de couleurs et de formes

La-petite-forêt-noire_80x100-cm_acrylique-sur-toile
Ghahraman Hormozi est né en Iran. Il s’installe en Suisse, à fribourg, en 1975 pour y étudier. La vitesse – celle des voitures de courses – l’attire. Cependant, c’est à la peinture qu’il commence à vouer son attention à partir des années 80 en voyant sa mère peindre. Ce qui pouvait apparaître comme un palliatif passager à sa soif de rapidité se transforme en un métier qu’il affectionne et pratique intensément chaque jour, depuis sa découverte.
Ghahraman Hormozi peint un monde imaginaire entre abstraction, figuration suggérée et une dose d’humour. En cela, il ne se réfère à aucun courant ou style artistique en particulier.
L’artiste ose la couleur, toutes les couleurs. L’artiste ose les formes et les plus diverses. Pas le temps de penser, vous voilà déjà emportés dans un monde de féerie qui vous oblige à prendre votre respiration pour mieux ressentir et exprimer votre joie. L’artiste exalte la vie. Cela peut tout aussi bien vous rappeler le cri des enfants jouant à la récréation que le chant des oiseaux.